#FANTASME #NSFW #INTERDITAUXMOINSDE18ANS #EROTISME
Ce matin j'ai rêvé de toi, a demi éveillé…
Tu étais à mes côtés dans le lit. Nous étions nus.
Allongée sur le ventre, ta tête tournée vers moi sur ton oreiller, les yeux fermés, ton bras droit sous ton ventre guidait ta main entre tes cuisses... Tu te caressais ainsi le souffle de plus en plus court, paupières closes… Je m'éveillais en découvrant la scène émerveillé... Tu étais si belle ainsi…
Autant surexcité par la situation que sincèrement volontaire à abonder dans ton plaisir, c'est le sexe raide que je te chevauche pour m'allonger de tout mon corps sur ton dos, mon membre brulant venant naturellement se caler entre tes fesses à la peau de pêche… Baisers dans le cou, bassin qui ondule lentement et voilà ma queue gorgée de désir qui caresse tendrement la raie torride de tes fesses… Tu gémis de plaisir les yeux toujours clos pendant que je soupire le mien dans ta crinière au si doux parfum.
Ton bassin se cambre quand tu sens la contrastante fraicheur de ma main glissante d'une généreuse noix, de ce que tu identifies immédiatement comme notre lubrifiant favori, sur ton chaleureux petit trou ourlé… Mais à peine a tu le temps d'identifier dans ton esprit la nature de cette caresse que tu sens ton petit cul sollicité par mon gland, que tu devines immédiatement dans un de ses jours d'extrême excitation, et qu'il ne lui faut dans ces moments que peu de temps pour convaincre ta rondelle de feu de le laisser s'y frayer un passage… C'est dans un profond geignement accompagné d’un puissant soupir de ma part que de mon membre, je me fonds en toi…
Tes doigts reprennent de plus belle sur ton sexe liquéfié après la petite pause imitant celle de ma verge au plus profond de tes fesses... Mon membre recopie dans ton étau de feu ton rythme jusqu'à ce que nous soyons parfaitement en phase : mon sexe allant et venant en toi à la même cadence que tes doigts de fée affolant ta vulve… Soupirs, geignements et gémissements trahissent le plaisir intense et si doux qui irradie du plus profond de nos êtres dans une tendre complicité animale.
C'est langoureusement que le plaisir devint irrépressible jusqu'à ce que ce soit, soit la tension du spasme de l'orgasme à travers ma queue turgescente en toi qui en phase avec tes doigts te fit basculer dans la jouissance, ou le spasme de ton orgasme resserrant le muscle de ton anus sur mon sexe qui déclencha le mien. Mais même si rien n'est clair à cet instant, c’est une vague puissante de plaisir qui nous ravage du plus profond de notre ventre en remontant jusqu'à notre cerveau pour y faire jaillir mille étoiles avant de faire redescendre d’infinis fourmillements délicieux jusqu'à l’extrémité de tous nos membres…
Béats de plaisir nous restons ainsi l'un contre l'autre sans bouger, cuvant notre plaisir autant qu'en profitant de celui d'être si proche : totalement en contact, peau à peau... Mon sexe encore en toi, mes doigts et mes lèvres te couvrant de plus en plus de douces caresses au fur et à mesure que je reprends conscience de ce qui avait tout d'un rêve magique...