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Petit fantasme de secrétaire...

Aujourd'hui Stéphane, qui était en charge d'un gros dossier est dans mon bureau pour me faire le bilan. La réunion est très productive et l'excellent travail de Stéphane a permis à la boite de conquérir un nouveau marché et augmenter ses profits. Je suis très content de Stéphane. Je voudrais le remercier le plus chaleureusement possible. Ayant déjà remarqué ses petits regards sur les fesses de ma secrétaire, je décrochais immédiatement mon téléphone pour lui demander de venir immédiatement dans mon bureau. Cette dernière arrive en quelques secondes, dans cette belle robe de printemps bleu nuit à petits pois blancs. Je l'aime bcp, car elle offre grâce à un très généreux décolleté en V une vue imprenable sur la naissance de sa si agréable poitrine... Et puis sa coupe ajustée, suit délicatement son appétissante silhouette, en laissant ses genoux et ses jambes découvertes... Perchée sur une jolie paire d’escarpins noirs, elle est à ainsi à croquer.

Pour répondre à sa question à l’entrée dans le bureau, je déclare : « Merci de nous rejoindre, figurez-vous que Stéphane a accompli un travail formidable. Je voulais vous en faire part ! Je pense que cela mérite une récompense. Je pensais bien sûr à une prime, mais j’aurais aimé qq chose de plus chaleureux. ». La secrétaire s’assois alors sur le rebord de mon bureau, appuyée sur une main, tournée à moitié vers moi et l’autre moitié vers Stéphane... Cela ayant pour effet de remonter cette belle robe sur ses cuisses croisées, dans un effet dont je suis persuadé qu’il était volontaire avant de déclarer : « Fêter ça ce midi avec une table dans un bon restaurant serait sympathique, mais j’ai vu sur le planning que vous aviez tous les deux des rendez-vous prévus tôt cet après midi... ». Cette diablesse se caresse du bout des doigts de sa main libre le bord du décolleté de façon aguicheuse, ce qui semble ne pas laisser de marbre Stéphane, qui se tortille sur sa chaise pour très probablement tenter de masquer son émoi...

Se tournant vers moi en caressant lentement sa poitrine à travers le décolleté, avant de déboutonner un par un les boutons du décolleté de sa robe, elle me demande « M. le Directeur, je pense que Stéphane ne serait pas insensible aux félicitations de la part de quelqu’un totalement dévouée à l’entreprise. ». Avec le sourire au coin des lèvres je réponds : « Et bien en effet, je pense que vous seriez la mieux placée pour le remercier au nom de toute l’entreprise, et lui démontrer ainsi que le dévouement ici, paye ! Je vous en pris, allez y ! ». C’est alors que sans aucune pudeur, mais avec une malice totale au coin des lèvres comme au fond du regard, qu’elle sort sa délicieuse poitrine de son décolleté pour la caresser sensuellement en se tournant cuisses ouvertes vers Stéphane. Ce dernier n’en revient pas et ne peut cette fois plus dissimuler la très sévère érection sous son pantalon. « Stéphane, le Directeur m’a chargé de vous présenter les plus chaleureux remerciements au nom de toute la boîte. J’espère que cela vous touchera. C’est amplement mérité ! Relaxez vous Stéphane, laissez vous aller, aujourd’hui c’est votre jour, vous avez le droit à tout ! ».

Elle se caresse toujours la poitrine, tout en descendant d’une main entre ses cuisses sur sa robe, qu’elle remonte au passage sur ses hanches pour découvrir un très élégant string de dentelle noire, dont une large trace sombre trahit l’excitation déjà avancée de la jolie vulve se trouvant dessous... Sa main monte et descend sur ce sexe à travers le fin tissu. Elle appelle Stéphane à l’aide, pour lui demander de se rapprocher un peu, pour la débarrasser de ce string gênant, ce que Stéphane ne rechigne pas à exhausser. « Merci Stéphane, je me sens plus à l’aise ! » déclare-t-elle tout en faisant tomber de son pied droit son si sexy escarpin, pour de ce pied nu foncer, entre les jambes de Stéphane assis en face d’elle, plongeant immédiatement contre son membre tendu sous ce pantalon... Et quel membre...

« Mmmmmh Stéphane, mais vous êtes beaucoup trop serré dans votre pantalon, libérez-vous de suite ! » A la vue de l’engin de Stéphane sortant de son pantalon comme un diable de sa boîte, elle ne peut refréner un geignement de plaisir en se pinçant la lèvre supérieure... J’adore ce geste chez vous... La situation commençait à diaboliquement m’exciter aussi, et je ne me gênais pas alors pour sortir mon sexe à mon tour, et même à le caresser lentement tout en laissant le moment se dérouler. De son pied nu, elle caresse cette fois le sexe raide et gonflé, nu lui aussi, de Stéphane. Il bandait si fort... Elle gémis sous la divine sensation de son gland glissant sous ses orteils et sa voute plantaire. Le pauvre Stéphane lui haletait de plaisir et d’un désir puissant... Laissant tomber le second escarpins, c’est pieds nus qu’elle descend du bureau, pour venir se placer à quatre pattes face à Stéphane toujours assis dans sa chaise, ses fesses tendues vers moi, prenant soin de bien relever sa robe sur son dos pour m’offrir entièrement ses fesses et son sexe sublime, tout en venant caresser du bout du nez, puis de la pointe de la langue, le sexe de Stéphane de tout son long.

Je n’avais ni envie, ni de toute façon aucune raison de ne pas profiter de la situation, je suis le directeur après tout ! Sous les gémissements de Stéphane se faisant happer la hampe d’un seul geste par les lèvres sublimes de notre secrétaire dévouée, je venais à genoux, queue dressée hors du pantalon, ouvrir à pleines mains les fesses de cette dernière avant d’enfouir mon visage entre, pour laper d’un ample et long mouvement de tête son entrejambe savoureux, de sa vulve trempée à son petit trou brulant... Le gémissement de plaisir qu’elle pousse est totalement étouffé par la queue de Stéphane qu’elle dévore avec la plus indécente gourmandise, aussi bruyante que dégoulinante... Sublime... Pendant que je me régale du parfum intense de sa petite rondelle plissée à pleine langue, notre Stéphane lui halète à la limite de la syncope sous les coups de langue et succions langoureuses de notre secrétaire experte, qui n’en perd pas une miette. Relâchant enfin l’étreinte de sa bouche soyeuse sur le membre de Stéphane, relevant la tête, elle s’écrie : « Prenez moi Stéphane ! Venez, levez-vous, et prenez moi ! Ma chatte est à vous, vous le méritez, remplissez moi, prenez moi Stéphane, baisez moi ! ».

Excité à l’idée de ce qui allait se passer, je me relevais et me réinstallais à mon bureau pour laisser la secrétaire se placer debout, cambrée, cuisses écartées contre le bureau, s’appuyant le buste penché sur le bureau face à moi, offrant ainsi sa croupe à Stéphane, tout en m’offrant sa magnifique poitrine en suspension et les manifestations du plaisir sur son harmonieux visage... Stéphane, chauffé à blanc ne se fit pas prier, et se plaça de suite debout derrière elle, tout en frottant sa queue contre la chatte et le petit trou trempés de notre secrétaire, avant de l’enfiler, d’un seul geste du bassin, tout d’un coup au fond de sa chatte, lui faisant expulser du fond de la gorge un profond geignement de plaisir, trahissant les proportions généreuses de notre héros du jour... C’est fermement agrippé aux hanches de la secrétaire que notre employé plante son membre par à-coups successifs et espacés, pour autant permettre à notre secrétaire d’encaisser l’engin que de prendre pour les deux, tout le temps d’en savourer le bienfait infini...

Mais assez vite je sens Stéphane s’enhardir et commencer à accélérer dans le sexe de velours de notre secrétaire plus impliquée que jamais, gémissant langoureusement à chaque coup de reins en elle, jusqu’à ce que ce dernier se mette littéralement à ruer en elle, la pilonner bruyamment du claquement de son bassin contre le cul de rêve de notre collaboratrice... De mon coté, face au visage béat et aux râles de plaisir de cette si aguichante collègue, je ne peux résister à me caresser frénétiquement dans mon fauteuil en l’observant ainsi emplie de plaisir. De ma main libre j’effleure, caresse sa poitrine qui s’agite au rythme des coups de queue de notre collègue dans sa fente, en faisant rouler les tétons durcis d’excitation entre mes doigts.

Elle gémit c’est si excitant... Mais connaissant son implication insatiable, je comprends tout de suite en voyant ce regard se porter sur ma main enserrant et caressant ma queue fièrement gonflée et dressée face à elle, qu’il va falloir que j’apporte une pierre plus importante à l’édifice de plaisir en cours, si je veux préserver sa loyauté hors pair à l’entreprise... Je fais part alors de tout mon dévouement à mon tour pour monter à genoux sur mon propre bureau, afin de soumettre ma queue raide à la bouche soyeuse de la secrétaire... Assis sur mes talons, sur mon bureau, ma secrétaire cambrée, sa chatte assaillie par notre collaborateur, je me fais enfourner à pleine bouche par cette experte. Sa langue enlace ma hampe, mon gland, glisse, caresse, danse avec ma queue gorgée d’une folle excitation, transmettant par à-coups les coups de butoir de Stéphane qui s’époumone en râles profonds de plaisir tout en batifolant au fond de sa fente qui devait littéralement dégouliner le long de sa queue et gouter sur la moquette du bureau. Je gémissais aussi comme un diable, je dois bien l’avouer, sous les caresses non moins diaboliques de notre petite salariée au savoir-faire démoniaque.

Et c’est tout d’un coup, sans prévenir, que notre Stéphane craqua, en un long soupir de plaisir semblant exprimer un profond soulagement, tout en poussant son membre au plus profond du sexe de la secrétaire, expulsant à priori une quantité gargantuesque de sperme, au vue du bruit sourd des gouttes de liquide chaud s’écrasant quelques secondes plus tard sur la moquette... Notre Stéphane s’effondra en arrière sur sa chaise, la verge encore gonflée, essoufflé et béat. Notre coquine relâcha ma queue pour se retourner et constater avec un magnifique sourire son « petit » effet sur notre travailleur... Elle me jeta un regard coquin, et repris immédiatement en bouche mon gland tout en me masturbant savoureusement la hampe d’une main... « Merci beaucoup Madame la secrétaire, vous êtes vraiment une collaboratrice d’exception ! Je pense que Stéphane est ravi de votre reconnaissance. Mais terminez donc le travail, notre Stéphane est encore tout barbouillé. Aller, vite, et je vais vous récompenser aussi pour votre dévouement sans faille, vous le méritez aussi. »

La secrétaire se replace alors à genoux entre les jambes de Stéphane et s’emploie immédiatement au nettoyage de sa queue barbouillée de mouille et de sperme tout chaud. De mon coté, j’entreprends comme promis mes petites félicitations à notre dévouée, en frottant ma queue turgescente contre son petit trou si chaud, que le pilonnage en règle de son sexe semble avoir bien attendri... D’un filet de salive sur son petit trou, je place l’extrémité de mon gland sur sa rondelle torride. Et d’une lente poussée du bassin, mon gland écarte lentement son délicat anneau de feu, qui s’ouvre généreusement, jusqu’à se refermer sur ma hampe une fois le gland passé. Quel régal... On étouffe alors tous les deux un gémissement de plaisir profond, sous le regard hébété de Stéphane, dont la queue se ramollit sous la langue de notre complice. Son cul est un tel délice : chaud, humide, serré, glissant et brûlant...

Je gémis au rythme de mes allées et venues dans sa croupe, pendant qu’elle étouffe les siens de sa bouche pleine du membre maintenant tout propre de Stéphane. Mes mains caressent ses hanches, ma queue la prend, l’écarte, la remplit à son tour. Chauffé à blanc par toute cette affaire et par la pipe magistrale prodiguée quelques instants plus tôt, je suis à 2 doigts de jouir puissamment... Notre secrétaire le sais, et c’est une main entre ses cuisses, ses doigts tournoyants sur son clito, que de mes coups de reins dans son fondement elle jouit... Fort, expressivement, en relâchant la queue de Stéphane de sa bouche elle crie son pied, déclenchant chez moi l’orgasme le plus profond qu’il soit, que je crie à mon tour en retirant in extremis mon sexe de l’étreinte de ce petit trou d’enfer pour expulser en jets puissants, le fruit brûlant du désir et du plaisir donné par cette déesse, me répandant copieusement sur le creux de ses reins, ses fesses, son petit trou béant...

C’est béat de plaisir que nous nous essuyons alors, grâce à cette boite de mouchoirs que je laisse toujours sur mon bureau à bon escient, nous réajustons nos tenues, pour après une ferme poignée de main, remercier Stéphane pour son travail et lui demandons un rapport écrit complet sur la prochaine mission qu’il souhaite mener à bien. Quant à moi, j’invite la secrétaire à manger pour un petit repas sur le pouce... Des rendez-vous nous attendent cet après midi...

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